Chronomètre Ferdinand Berthoud FB 1 : L’alliance du luxe et de la haute précision

Fruit d’une réflexion en hommage au génie horloger de Ferdinand Berthoud, le nouveau garde-temps de la Chronométrie Ferdinand Berthoud incarne une vision moderne des créations que pourrait réaliser l’horloger mécanicien du Roi Louis XV, s’il vivait aujourd’hui.

Karl-Friedrich Scheufele, Président de la Chronométrie Ferdinand Berthoud, a souhaité inscrire ce nouveau garde-temps d’exception dans la continuité de l’œuvre du maître chronométrier, en privilégiant une approche contemporaine guidée par le même esprit d’innovation tout en s’inspirant des chronomètres de marine créés par le maître horloger. Abrité dans un imposant boîtier octogonal de 44 mm à hublots étanches (30 mètres), le nouveau Chronomètre Ferdinand Berthoud FB 1 est équipé d’un mouvement mécanique à remontage manuel inédit, animé par plus de 1120 composants. Entièrement développé, conçu et fabriqué de façon autonome par la Chronométrie Ferdinand Berthoud à Fleurier (Suisse). Le calibre FB-T.FC arbore un tourbillon à seconde centrale, une architecture caractéristique en piliers, un dispositif de régulation fusée-chaîne suspendu novateur et un cône mobile de réserve de marche, chacun faisant l’objet d’une demande de dépôts de brevets.

La continuité d’une dynastie horlogère

En redonnant vie au nom et aux prouesses horlogères de Ferdinand Berthoud dans une expression contemporaine, la Chronométrie Ferdinant Berthoud fait entrer le talent de cet artisan chronométrier dans une nouvelle ère créative, qui exalte l’art horloger dans ce qu’il a de plus beau. Cette dynastie de maîtres horlogers a débuté en 1753 avec l’accession de Ferdinand Berthoud à la maîtrise d’horloger à Paris. Il s’impose alors comme l’un des ingénieurs horlogers les plus talentueux de son époque. Il marque à jamais l’histoire avec ses chronomètres de marine à la précision remarquable. Capables de mesurer des longitudes à moins d’un demi degré près, ses chronomètres permettront à la France de disputer la suprématie maritime de l’Angleterre, et à leur créateur d’accéder au titre prestigieux d’«Horloger Mécanicien du Roi et de la Marine» sous le règne de Louis XV.

Le visage de la précision

Privilégiant la lecture du temps et l’affichage de sa mesure précise, le cadran est aussi sobre d’apparence que complexe à réaliser techniquement. Les heures et minutes décentrées s’égrènent sur un cadran laqué blanc positionné à 12 h. Se détachant d’un fond satiné noir ou ruthénium, l’échelle des secondes s’affiche sur un rehaut en saphir translucide sur le pourtour du cadran. Au centre, une ouverture aux contours soigneusement anglés laisse admirer le mobile des secondes et la roue d’entraînement de la cage de tourbillon, tournant chacun dans le sens opposé de l’autre. La réserve de marche du mouvement est quant à elle indiquée par une échelle gravée directement sur la platine, s’affichant au creux d’un compteur positionné à 9 h. Son niveau d’autonomie est signalé par une flèche désignant l’adjectif «Haut» ou «Bas», inscrit en français, langue maternelle de Ferdinand Berthoud. Accompagnées de la certification «Chronomètre» paraphée au bas du cadran, les mentions «Val-de-Travers» et «Suisse» soulignent le caractère artisanal de ce précieux garde-temps conçus entièrement dans le berceau du maître-horloger.

Des procédés de fabrication particulièrement ardus

Un soin très exigeant a été porté à l’exécution des aiguilles, inspirées de formes caractéristiques des créations signées Ferdinand Berthoud. Façonnées dans l’or 18 carats, elles revêtent des lignes à la fois complexes et originales, qui requièrent des procédés de fabrication particulièrement ardus. Les aiguilles glaive des heures et des minutes sont ajourées et facettées, tandis que la grande trotteuse au centre, d’une finesse et d’une longueur extrêmes, est réalisée en bronze et pourvue d’un contrepoids rond typique des régulateurs Ferdinand Berthoud. L’indicateur de réserve de marche est pour sa part doté d’une pointe triangulaire galbée. Harmonisées à la teinte du cadran, elles sont délicatement bleuies ou dorées selon la version, assurant une lisibilité parfaite des fonctions et rehaussant la clarté de leur précision. La sobriété des lignes et le raffinement contemporain de ce chronomètre se prolonge par un bracelet en alligator, rembordé et cousu main. À la fois souple et robuste, il est composé d’une peau cousue au moyen d’un fil de lin et refermé par un fermoir de sécurité déployant bilames en or 18 carats pourvu d’un dispositif de réglage de la longueur propre aux nouveaux garde-temps de la maison. Sachez enfin, que Chronométrie Ferdinand Berthoud s’est associée à la Galerie Delalande qui expose à la Biennale Paris 2017. Sur son stand S18, jusqu’au 17 septembre prochain, le Chronomètre Ferdinant Berthoud FB 1, lauréat du Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2016 et récompensé de la plus haute distinction du concours, «L’Aiguille D’Or » y sera exposé. Boîtier : bimétallique or gris 18 carats et entre-corne en titane. Diamètre : 44 mm. Epaisseur : 13 mm. Étanchéité : 30 mètres. Couronne vissée en or gris 18 carats avec médaillon en or rose 18 carats (www.ferdinandberthoud.ch www.antiquites-delalande.fr).

Edition limitée et numérotée de 50 pièces