L’artiste anglais David Shrigley reinterprète le jéroboam Ruinart Blanc de blancs

Objet de collection, ce coffret contient un jéroboam dont le décor a été réinterprétée par David Shrigley. C’est la première fois qu’un artiste intervient directement sur l’emblématique flacon Ruinart, dont la forme est héritée du 18ème siècle. Objet fonctionnel, le coffret se métamorphose en seau à champagne au moment de la dégustation : sa base peut accueillir de la glace pour rafraîchir les cuvées de la Maison. Seulement 30 exemplaires signés numérotés sont mis en vente au prix de 3 500 €.

Ruinart a invité l’artiste britannique David Shrigley a apposé sa vision singulière sur une Maison qui ne l’est pas moins. Dans le cadre de sa réinterprétation artistique intitulée Unconventional Bubbles/Bulles Singulières, il a conçu une œuvre en édition limitée pour servir d’écrin à un jéroboam de Blanc de blancs. Il a décidé d’utiliser un jéroboam en raison de sa capacité de conservation exceptionnelle. En effet, le rapport oxygène/volume du vin étant divisé par quatre par rapport à une bouteille classique, le vin vieillit moins vite et exprime plus de complexité, de fraîcheur et de diversité aromatique. De plus, le champagne en jéroboam développe plus d’arômes de maturation (toast, arômes grillés, amandes grillées), et plus de corps en bouche, ce qui lui donne un caractère plus soyeux. Le potentiel de garde de ces grands formats est également particulièrement bon. Chacun des 30 coffrets est numéroté et signé par l’artiste. Il s’orne d’un damier reprenant l’un des dessins créés par l’artiste pour la Maison Ruinart. Dissimulant le flacon, le motif noir et blanc se pare de bulles rebelles renfermant des affirmations si caractéristiques du travail de David Shrigley. Toutes sont véridiques ! Elles révèlent la face cachée de la production des vins de Champagne, le savoir-faire et la relation à la nature qui l’ont tant marqué lors de ses visites à Reims et dans le vignoble (www.ruinart.com).